ESSAYONSAVECDIEU

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Témoignage


Son nom est l'Éternel mon Dieu

 

Combien sommes-nous à attendre, de Dieu, un témoignage et s'y apprêter d’en faire un sujet de joie dans notre quotidien ?

À l’instar de notre vie, Dieu nous en donne diverses opportunités de rendre gloire à son Saint nom ; il nous suffit de voir en chaque moment, l’idéal-feu-vert, pour lui exprimer notre reconnaissance, joignant notre voix à celle du psalmiste : Fils de Dieu, rendez à l'Éternel, Rendez à l'Éternel gloire et honneur! (Psaumes 29:1)

 

Par des mots, il m'est, personnellement, impossible d’exprimer ma reconnaissance envers celui, dont l'amour restaure l’âme, se révélant comme suit :  Je suis l'Éternel, votre Dieu [...]; j'ai brisé les liens de votre joug, et je vous ai fait marcher la tête levée. (Lévitique 26:13)

Celui qui a brisé mes liens et qui, dans sa grâce, retira mon âme de la détresse est l’Éternel mon Dieu ! Aucun mot magique ne m’a assuré la guérison de l’âme ; j'ai tout simplement invoquée le Seigneur. N'eût été sa puissance, mon âme, jours et nuits, serait encore dans la détresse.

 

Maintes fois, j’ai souhaité être au temps de Jésus où, disais-je qu’au moins, J’aurais eu le privilège de toucher le bord de sa robe, comme en a eu la femme, dont relate la bible dans Matthieu 9 : 20 ; toutefois, celle-ci a dû attendre que Jésus passe sur son chemin pour le toucher et être guérie, mais moi j’ai eu la grâce de précipiter son passage. Par un cri, j’ai non seulement touché le bord de sa robe, et contrairement à la femme, j’ai aussi touché son coeur. Compatissant est son coeur, il a séché mes larmes.

Celui qui change l’eau en vin, change les larmes de tristesse en chants d’allégresse ; celui, dont la voix fait trembler le désert; [...] et enfanter les biches, (Psaumes 29 : 8-9) a su faire taire les flots et les vents tumultueux de mon coeur.

 

Aujourd'hui Dieu a fait l'impossible : il a séché mes larmes et j’en pleure de joie ; Quel contraste ! Que le nom de l'Éternel soit béni, Dès maintenant et à jamais! [...] De la poussière il retire le pauvre, Du fumier il relève l'indigent, [...] Louez l'Éternel! (Psaumes 113:2,4-9)

 

J’ai trouvé ma voie dans la parole de Dieu ; son Esprit a su me transformer et la souffrance devient témoignage au travers des textes de méditation.

 

Vous qui ne le connaissez pas encore, vous savez, le hasard n’hésite pas...vous y êtes tombé sur ce texte parce que Dieu le voulait, et parce qu’il vous cherche pour sécher toutes vos larmes. Il est vivant, mon Dieu !

 

S’il a séché mes larmes, il peut sécher les vôtres ; s’il a retiré mon âme de la détresse, il peut restaurer la vôtre ; s’il m’a placé sur ce rocher pour chanter ses louanges, il peut vous élever au-delà de vos espérances.

 

Change mon eau en vin, Seigneur...Croyez seulement et tout s'accomplira en son temps.

 

ESSAYONSAVECDIEU

 

*CDC*

 

 


09/12/2019
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Essayons Avec Dieu

" Notre vie est bien souvent tout sauf très paisible " ; Pimentée de problèmes et d'épreuves ! Mais, malgré ce qu'elle est, nous devons continuer à avancer, car elle ne s'arrêtera pas ; tel un carrousel, elle continuera de tourner avec ou sans nous.

 

Eh oui! La vie peut être comme " une traversée de la mer du monde " : longue et périlleuse. Mais la vôtre, est-elle calme et paisible? Je suis sûre que non, pour le moins pas tous les jours !

 

En ce moment, que traversez-vous : une, deux ou même trois grosses tempêtes ? Je n’en doute pas ! Et, croyez-vous en être le seul ? Rassurez-vous que non, car vous savez, le collègue de travail, ou le voisin d'à côté possiblement traverse une aussi grosse tempête que la vôtre. Pas semblable, mais assez difficile pour être dans le même état d'esprit que vous: complètement dérouté, abattu et découragé...eh oui ! Chacun à sa croix à porter, pas toute de la même grosseur, mais toutes difficile à porter.

 

Je ne sais pas ce que vous traversez en ce moment même, ni à quel point vous en souffrez, mais je suis certaine que votre douleur est insoutenable et indescriptible au point de vouloir tout abandonner.

En effet, je ne saurais décrire votre mal être, mais je sais seulement qu’il vous fait souffrir, même pleurer parfois. Je ne peux décrire votre souffrance, encore moins mesurer toutes les larmes déjà versées ; à travers pleures, fardeaux, et déception déjà je suis passé … alors, je peux vous assurer que c’est normal de pleurer si ça fait mal, je peux en témoigner.

 

***

 

Ma vie n'avait aucun sens. À qui veut m'entendre je pleurais matin et soir. Oh ! Qui verra ma détresse ? Et qui me portera secours ? Personne pour entendre mes soupirs. N'était-ce pas assez clair, "Dieu me laisse périr, disais-je. Il ne m’entend pas non plus, et ne prête même pas l’oreille à mes cris. Savait-Il au moins où je me trouve, Lui lançant le SOS...

 

Mon âme blessée, mon cœur troublé et mes yeux rougis par les larmes qui coulaient depuis trop longtemps déjà... Je me doutais qu'Il entendait mes cris et redoutais qu’il puisse comprendre au moins ma douleur, car son silence ne faisait qu’amplifier ma peur et mon désarroi.

 

Pourquoi je n’arrivais pas à comprendre ce qui se passait autour de moi ? Et les choses qui devenaient tellement indescriptibles... ? Ce ne sont pas des choses auxquelles j’étais habituée, étais-je devenue moins intelligente qu’avant ou simplement trop naïve pour m’en apercevoir à temps ?

 

Ma peine devenait contagieuse au point d’éloigner tous ceux pour qui je comptais. Je ne pouvais leur en vouloir, c’était légitime d’ailleurs, car mon chagrin était comme la lèpre et la mise en quarantaine était justifiée.

Pleurer était devenu mon seul partage, et voir ma mère à genoux pleurer devant mon lit à chaque fois que je pleure, à invoquer le secours de Dieu. J’aurais aimé lui épargner tout ceci, mais hélas ! Je ne pouvais m’aider moi-même.

 

Être à l’honneur, qui n’aime pas ça ? Je suis devenue vedette sur les lignes de prières : ma mère d’un côté, ma tante de l’autre de côté et les voix d’autres femmes qui résonnent au bout de la ligne, implorant à Dieu délivrance rien que pour moi. Je ne rêvais pas, c’était la réalité, ma réalité. Qu’ai-je donc fait de travers pour que mon monde bascule à ce point ? Mon Dieu, avait-t-Il cessé d’être mon Dieu… même pas une once de discernement, ne serait-ce pour une toute petite analyse.

 

Et dire, tout ce que j’ai cru avoir besoin sur le coup c'était de crier aussi fort que je le pouvais afin de dissiper cette douleur. Alors, je me cherchais une épaule pour m'appuyer et des oreilles pour m'écouter...Hélas ! Dieu, entend-t-Il mon cri sous le poids de ma tempête ? Je me suis sentie vidée de toutes mes forces, submergée de honte et de culpabilité de n'avoir pas su me relever après m'être effondrée.

 

Aveuglée par mes larmes et troublée à cause des angoisses dans mon cœur, je n'ai pas su voir cette main tendue vers moi, et ce n'était pas la première fois !

 

« Quand un malheureux crie, l'Eternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses » (psaumes 34:6). Il est venu vers moi...et moi vers les autres, incapables d'apaiser ma peine. Mais Il est resté jusqu'à ce que je comprenne qu'Il n'attend que moi pour affronter cette tempête. Dans ma détresse, j’ai crié au secours et mon Dieu m’a entendue et il m’a secourue : Il fut mon seul et vrai soutien !

 

Ô, Tant d'amour et de patience dont il fit preuve ! Sa main tendue vers moi et me dit " Je marche avec toi". Ainsi donc, Il m’a donné de l’assurance : « N’aie pas peur, car je suis avec toi ; ne jette pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; je te rends fort, je viens à ton secours, je te soutiens de ma main droite victorieuse » ( Essaïe 41 : 10) !

 

Et depuis cet instant, mon discours a changé car le doute a quitté mon cœur. Le secours que je cherchais ailleurs, que je n'ai pas pu trouver m' a dirigé vers Dieu, "de Lui seul vient le secours ". Cette quarantaine qui m'a tant effrayée n'était qu'un moyen pour m'approcher vers Dieu.

 

Les épaules dont je n'arrivais pas à trouver m'ont permise d'accepter celles que Dieu m'en avait proposées ; Les larmes que j'ai tant versé m'ont rendues plus forte ;

La honte et la culpabilité qui me rongeaient m'ont appris à persévérer dans le Seigneur et les blessures de mon âme m'ont démontré qu'avoir la crainte de Dieu, c'est accepter les blessures, en ayant pour seul objectif :

« Que l´innocence et la droiture me protègent toujours, Quand je mets en Dieu mon espérance » !

Oui, J’ai pu trouver un sens à ma vie : c'est d'essayer qu'avec Dieu.

 

****

 

Possiblement vous recherchez depuis longtemps du secours et aviez lancé des SOS autour de vous sans l'ombre d'espérance. Vos yeux sont rougis de larmes et la peur est devenue votre seul partage. Le désarroi et vous cohabitez depuis tellement longtemps qu'il finit par devenir votre seul allié. Je ne doute pas que vous ayez perdu la joie de vivre et aviez même oublié comment rire...

 

Lacé et seul avec votre peine, maintenant vous pensez et croyez avoir tout essayé, mais en vain... Laissez-moi vous dire ceci: vous n'avez pas encore essayé avec Dieu!

 

 

Je ne vous mentirai pas en vous disant que mes tempêtes ont disparu, bien au contraire, elles se sont amplifiées et multipliées. Mais je n'ai plus à avoir peur: qu'elles se multiplient, car je joins ma voie à celle de David pour dire : « Si une armée se campait contre moi, Mon coeur n'aurait aucune crainte; Si une guerre s'élevait contre moi, Je serais malgré cela plein de confiance. »

Désormais, j'essaie avec Dieu et Il marche avec moi ; Sa parole nous dit : « Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés » ( Romains 8 : 37). Oui, je suis plus que vainqueur. Dorénavant, j’affronte tout ce qui vient avec calme et assurance dans le nom de Jésus ! 

 

Si je vous demande ceci : Serait-ce votre première expérience avec Dieu ? D’autres l’ont déjà expérimenté avant vous et moi aussi d’ailleurs.

 

Voyons si cette image vous semble familière :

 

je suis certaine que pour vous, plus il y a d'avis positif, plus vous vous laissez convaincre. Excellent ! 

Cependant, sachez qu’aucun nombre infini d’étoiles ne pourra décrire, ni illustrer ma satisfaction de mon expérience personnelle avec Dieu, mais je m’appuie sur mon témoignage et vous recommande de l’essayer : c’est comme accepter son secours ; Soyez-en convaincu, vous en témoignerez à votre tour.

 

Néanmoins, si vous l’aviez déjà expérimenté, mais l’aviez remplacé par la peur et le péché alors, souvenez-vous en de son bel accueil, du calme et de l’assurance que vous aviez reçu avec Lui.

Ma recommandation pour vous est de reprendre là où vous vous êtes arrêté pour réessayer avec Dieu. Voici ce que vous dit l’Éternel : « Si tu reviens à moi, je te ferai revenir et tu te tiendras devant moi. Si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est sans valeur, tu seras comme ma bouche. C'est à eux de revenir vers toi, ce n'est pas à toi de revenir vers eux. » (Jérémie 15 : 19)

 

N’oubliez pas, peu importe le nom, la provenance, le but et la force de votre tempête en ce jour, déclarez votre victoire avec Dieu. Avec calme et assurance vous les affronterez car Lui seul peut calmer toutes les tempêtes dans notre vie.

 

 

*CDC*

 


31/12/2018
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